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L’Integrity Institute, un groupe de défense des droits en ligne, a constaté que Twitter et TikTok sont les réseaux sociaux qui véhiculent davantage de désinformation. La fonction de retweet de Twitter a moins de friction que les options de partage d'autres plates-formes, ce qui permet aux utilisateurs de retweeter un message en un seul clic et de le propager à un public plus large.
Sur TikTok, la plupart des contenus sont publics et les vues sont générées par des recommandations dépendant de modèles d'apprentissage automatique qui prédisent l'engagement, ce qui signifie que la désinformation peut se propager "bien au-delà des abonnés du compte qui l'a créée", indique le rapport.
L'étude a identifié le plus grand nombre de messages de désinformation sur Facebook, sur la base de l'échantillon analysé. Mais les publications contenant des informations erronées sont amplifiées dans une moindre mesure sur Facebook que sur Twitter et TikTok, car l'option de partage de Facebook a ce que le rapport appelle un niveau de "friction" plus élevé.
Facebook exige que les utilisateurs choisissent s'ils souhaitent partager une publication en tant que nouvelle publication ou message direct, et s'ils souhaitent ajouter un commentaire.
Ces options ajoutent un niveau de friction qui n'existe pas pour partager des publications sur Twitter ou TikTok.